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Les news |
Lundi 1er septembre 2008 : San José de Chiquitos De Copacabana, nous franchissons la frontière péruvienne pour rejoindre la Vallée Sacrée où nous nous sommes mariés, il y a 6 ans déjà ! Nous retrouvons avec plaisir José et Irène chez qui nous avions organisé notre mariage et leur présentons Swanne... séance émotion ! Nous profitons de ce rapide séjour pour redécouvrir les Salines de Maras et la vieille ville de Cuzco, toujours aussi magique.
De retour en Bolivie, Swanne et moi souffrant de l’altitude et du froid, nous descendons rapidement à Cochabamba. Cette grande ville, la troisième du pays, est très agréable à vivre et son développement ne date pas d’hier. Les grandes familles propriétaires, qui détenaient le pouvoir jusqu’en 2006, y sont installées depuis des décennies. On sent que c’est une ville qui bouge, probablement autant que Santa Cruz et c’est d’ici que partent tous les fruits et légumes vers les marchés boliviens. L’origine de la richesse locale est essentiellement la culture de la coca et bien sûr ses dérivés... Mais pour nous ce fut une réelle étape gastronomique, les restaurants étant sans doute les meilleurs du pays.
Toutes les rues e San José sont en terre latérite rouge, les manguiers, papayers, citronniers et orangers ornent tous les jardins... mais ne comptez pas en trouver dans les boutiques, ici on les mange chez soi, mais on ne les vend pas, ce serait trop d’efforts... la vie coule tranquillement à l’ombre des galeries des maisons coloniales pour se protéger des 30 degrés minimums et des rayons du soleil ardent. Pour nous installer, nous découvrons les richesses des magasins locaux, ici pas de surconsommation possible : il n’y a rien !! Nous faisons donc faire nos chaises et nos tables chez le menuisier car personne n’en vend... pour le buffet de cuisine et bien nous patientons toujours... le menuisier a certainement été couper un arbre et attend que le bois sèche. Le maître mot ici c’est « connaissance » car si on veut une nouvelle robe, il faut connaître la couturière qui vous la fera de chez elle ; c’est la même chose pour le coiffeur : aucune enseigne mais des doigts d’or dans chaque demeure. Swanne buvant toujours uniquement du lait de soja, nous l’avons commandé à Santa Cruz et nous voilà pourvu pour un mois. Ne croyez pas que c’est la Poste qui nous a livré cette commande car il n’y a pas de Poste non plus ici. Les gens aisés ont une boîte postale à Santa Cruz et vont la relever une fois par mois par le train. Par contre, dès que quelqu’un part en voiture ou en camion alors il se fait connaître et devient livreur personnel : l’entraide est ici quotidienne.
L’attrait de San José réside essentiellement dans sa localisation géographique au coeur des Missions Jésuites de Chiquitos, à quelques kilomètres du parc Kaa Iya et du parc Noël Kempf Mercado, au pied de la très belle Serrania d’où la vue sur la forêt tropicale est unique. La nature, sa flore et sa faune, l’Histoire liée a la mission jésuite, la culture avec les ateliers de sculpture sur bois et la musique baroque font de cette région encore isolée et peu connue notre coup de coeur bolivien. Mais cet isolement ne va pas durer longtemps car la route qui relie San José à Santa Cruz est en cours de goudronnage et celle qui va au Brésil vient d’être asphaltée. Dans deux ans, ce petit havre de paix sera le prochain lieu de villégiature des Cruceños pour le week-end.
Jérôme a profité de la venue de Simon, un ami Français terminant son tour du monde, pour aller découvrir le parc Noël Kempf Mercado. Classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, ce parc abrite la faune et la flore la mieux préservée d’Amazonie. Mais l’accès au parc se mérite et ces 5 jours se sont révélés une aventure passionnante. Les routes n’étant pas entretenues le 4x4 a dû se frayer un chemin à travers la végétation envahissante puis plusieurs jours de marche leur ont permis d’observer des singes araignées, tapirs, tatous, serpents, toucans, aras... bivouacs sous la canopée, bains dans les rivières ou chutes d’eau, lutte contre les insectes et en pirogue à la recherche de caïmans bref un récit frissonnant mais attirant.
A 40 km de San José se trouve une colonie mennonite et chaque jour dans les rues ces hommes blonds avec chapeau de cow-boy et salopette marine viennent vendre leurs poulets, oeufs frais et fromage. Nous en profitons pour continuer notre reportage sur cette communauté si particulière. Dans quelques jours, jeudi 4 septembre, nous présentons à l’Alliance Française de Santa Cruz le film sur notre tour du monde, cela nous remettra dans le bain avant notre tournée de conférences dans les écoles québécoises en octobre et novembre. Bonne rentrée à tous les Français et à bientôt . Lundi 7 juillet 2008 : Copacabana - Lac Titicaca Nous venons de passer trois semaines sur l'Altiplano dans des paysages grandioses et uniques.
De Tarija nous rejoignons Tupiza : quebradas de pierres rouges, cactus, chevaux, une sorte de farwest. De là, nous partons en direction du Sud Lipez, la région la plus isolée et la plus rude de ce pays. Jérôme, avec nos amis Bruno et Karine, y sont allés en octobre dernier. Notre aventure a tourné court au bout de 24 heures car le moteur n'a pas souhaité redémarrer après une nuit de bivouac par -15°C. Nous sommes restés boqués deux nuits avant de pouvoir redémarrer grâce à l'aide d'un chauffeur mécano passant par là et avons rebroussé chemin. Quelques jours plus tard, la voiture revenue à Tupiza et réparée, nous prenons la décision de ne pas aller seuls dans le Lipez avec notre 4x4.
Jérôme a alors la gentille attention de m'offrir pour mes 37 ans un tour organisé de 4 jours pour découvrir cette région. Il me rejoindra directement à Uyuni. Ces 4 jours furent vraiment extra, très reposants car tout est prévu, il suffit de se laisser guider, très rapide aussi car il y a beaucoup de choses à voir en peu de temps (;-)) Mais les souvenirs de la Laguna Verde (sa couleur specifique est due à la présence d'arsenic), des eaux thermales à 40°C, des geysers à 5000 m d'alt, de la Laguna Colorada, de l'arbre de pierre et des flamants roses restent inoubliables... Sans doute un des plus beaux coins de cette planète mais il se mérite!
Jérôme et Swanne me retrouvent sur le salar d'Uyuni et nous partons ensemble découvrir les momies du 14ème siècle au pied du Volcan Tunupa, passons la journée sur le salar, toujours aussi spectaculaire puis assistons au coucher de soleil sur un terrain de jeu pour enfants : le cimetière de trains du 19°siècle ! (cf :rubrique reportage)
D'Uyuni, nous rejoignons le parc de Sajama, du nom du plus haut sommet de Bolivie (6542 m d'alt). Beaucoup moins touristique que la region Uyuni-Lipez, ce parc abrite des lagunes, eaux thermales, geysers, vigognes, alpagas, forêt de quenua (petits arbres endémiques de cette région), églises du 18ème siècle et le tout surpomblé par ce géant, le mont Sajama qui inspire le respect. Un nouveau coin coup de coeur.
Nous sommes actuellement à Copacabana, au bord du Lac Titicaca, le plus haut lac navigable au monde (3800 m d'alt) où se déroule une bien étrange tradition. Tous les propriétaires de voitures, bus, camions viennent demander aux prêtres de la cathédrale de bénir leurs vehicules. Ces derniers sont décorés de fleurs et cotillons pour l'occasion. Ici toutes les classes sociales de la région de La Paz viennent en week end pour la bénédiction et profitent de la plage où pédalos, balades en bateau et régates animent ce petit village. Les estivants trinquent en arrosant la terre mère (Pachamama) et en dégustant les délicieuses truites saumonées du lac.
Prochaine étape la capitale La Paz. En attendant vous pouvez consulter les nouvelles photos des albums Paysages et Swanne ainsi que celles des reportages. A bientôt!
Lundi 16 juin 2008 : Tarija
Parallèlement à notre vie chez les Mennonites, nous assistons un week end à la grande foire aux bestiaux de Charagua. Vaches, taureaux et zébus sont présentés et vendus aux enchères. Un bon taureau se vend environ 2000 bolivianos soit 200 euros. Les jeunes Mennonites sont également venus vendre et acheter des bêtes et nombreux sont ceux attirés par le stand de TIGO, l'opérateur de téléphone celulaire local, alors que les téléphones sont interdit dans la communauté. La modernité les rattrape et la tentation est grande.
Nous quittons Charagua pour retrouver Tarija pendant une semaine, le temps de rendre les clés de la maison que nous louions depuis l'année dernière, revoir nos amis et préparer notre expedition vers le Sud Lipez, Uyuni, Sajama et le lac Titicaca. Nous renouons avec altitude et grand froid que les paysages fabuleux de l'altiplano nous feront oublier...
A bientôt.
Lundi 19 mai 2008 : Santa Cruz
Nous arrivons à San Javier pendant le Festival International Dimanche 4 mai, nous assistons à Santiago aux élections. Les habitants du département de santa Cruz sont appelés aux urnes pour un Réferendum pour ou contre l'Autonomie du département. 86% votent OUI à l'AUTONOMIE. Cette élection est qualifiée d'illégale et anti-constitutionnelle par le Président Evo Morales mais celui-ci, lors d'un discours télévisé le soir de l'élection, reconnait devoir prendre en considération ce résultat. Depuis 2006, les départements de la média luna et le gouvernement d'Evo Morales s'affrontent sur le thème de la répartition des pouvoirs : autonomie libérale contre centralisation socialiste. Le résultat du référendum est un point de plus vers l'autonomie c'est à dire vers la mise en place d'une répubique fédérale.
Après avoir profité des sources d'eaux chaudes de la région, nous passons plusieurs jours à San José de Chiquitos où Swanne tombe malade, victime A bientôt
Lundi 12 novembre 2007 : Sucre - Uyuni - Lipez - Tarija
Le
salar est toujours aussi magnifique. Cette grande étendue
Cependant ces paysages se méritent et nous ne comptons plus les "galères" auxquelles nous avons du faire face : enlisement sur le salar de Chiguana, embourbement lors d'un passage à gué... enfin casse des amortisseurs arrières qui finalement nous empêcheront d'aller jusqu'à la Laguna Verde à l'extrême sud du Lipez.
Nous
retrouvons enfin Sophie et Swanne qui ont rejoint Tupiza par une piste
plus tranquille et rentrons à Tarija pour faire découvrir
à Karine et Bruno la région et la ville où nous vivons
depuis près de 5 mois. A notre retour, Jérôme finalisera le film de 17' sur l'association Educacion y Futuro avant d'entreprendre un nouveau tournage. En effet du 8 au17 novembre a lieu, dans le département de Tarija, la 7ème édition de "La Boliviana" un Raid Humanitaire et Sportif organisé par des Français. Jérôme est donc parti suivre une vingtaine d'équipes françaises, boliviennes, québécoises et suisses parcourir cinq étapes en plusieurs disciplines, trail, trek, vélo et course d'orientation. Notre séjour en Bolivie touche à sa fin. Nous rentrons en France le 30 novembre mais serons de retour à Tarija en mai prochain pour continuer à découvrir ce fabuleux pays. A bientôt Vendredi 12 octobre 2007 : De Tarija à Sucre Quelques nouvelles depuis début septembre. Après un épisode difficile du à des problèmes de santé qui nous ont bloqué pendant près de trois semaines, la famille Maurice est à nouveau en forme et prête à redécouvrir les paysages uniques du sud bolivien.
A l'Alliance nous avons rencontré les fondateurs de l'association Educacion y Futuro qui s'occupe d'aider les enfants travailleurs
de Tarija et particulièrement les enfants exploités.
Bien que le travail des enfants soit interdit en Bolivie en dessous de
14 ans, c'est encore malheureusement une réalité dans tout
le pays et à Tarija ils sont environ 8000. Jérôme
réalise en ce moment un documentaire sur cette association et
Pour
la première fois nous retournons sur les traces de notre Tour du
Monde et 5 ans plus tard nous constatons une évolution notable
de cette ville. Potosi est
Nous sommes aujourd'hui à Sucre, la capitale historique, constitutionnelle et juridique. Depuis 1899, la Paz est la capitale de fait et le siège du gouvernement mais depuis l'élection d'Evo Morales et surtout le travail de refection de la constitution, Sucre reclamme à nouveau son titre de capitale pleine et entière avec le transfert du gouvernement dans le centre du pays et non pas uniquement dans les Andes. Ce thème soulève ici beaucoup de polémique... à suivre donc !
Enfin nous vous signalons que notre programme de conférences Connaissance du monde, pour la saison 2007/2008, est disponible sur le lien suivant : agenda 2007/2008.
A bientôt
Vendredi 7 septembre 2007 : Entre paysages magnifiques et traditions Le mois d'août a été pour nous l'occasion de découvrir la région de Tarija et ses traditions.
Nous avons été heureuxd'accueillir chez nous Annie et Alain, deux savoyards retraités, partis pour deux années autour du monde à vélo. Après l'Asie centrale, l'Asie du sud-est et la Nouvelle-Zélande cela fait près de 4 mois qu'ils roulent en Amérique du Sud. Une semaine très sympathique où nous en avons profité pour nous balader dans la région. Swanne quant a elle fût bien contente de jouer avec " mamy Pomme " et " papy Chat " et surtout d'apprendre la chanson " Pomme de reinette et pomme d'apis " qui calme désormais tout les petits maux ou agacements de Mademoiselle. Une semaine à l'ambiance familiale très agréable. Nous leur souhaitons bonne route vers l'Argentine puis l'Afrique. (leur site : http://pommequiroule.homeip.net) Notre maison se situe dans une zone géologiquement très aride avec une végétation d'épineux et de cactus contrastant fortement avec le Lac San Jacinto qui se trouve à moins d'un kilomètre. Ce lac artificiel formé suite à la construction d'un barrage permet d'irriguer les cultures environnantes et notamment les vignes de la Vallée de Conception. C'est un lieu très agréable au bord duquel on déguste de très bons poissons comme le Pejerrey (chair goûteuse mais pleine d'arrêtes !) accompagné de gros grains de maïs blancs pochés. Les eaux bleues du lac dans ce paysage aride donnent de véritables accents méditerranéens à la région.
A une heure de Tarija en empruntant une piste sinueuse et raide qui grimpe à 3800 m d'altitude se trouve l'entrée du parc de la Cordillère de Sama. On y découvre les magnifiques lagunes de Tajzara peuplées par des colonies de Flamants roses, de Flamants James une espère rarissime, de foulques géants et des foulques cornues. Nous y sommes déjà montés trois fois et à chaque visite le spectacle est saisissant. On se trouve réellement sur l'altiplano avec des villages en adobe, des lamas, un vent permanent et cette végétation si spécifique aux hauts plateaux andins : la puna, une petite herbe jaune.
Le
sud bolivien recèle de trésors et nous en avons découvert
un autre : la région de Tupiza.
Du côté de chez Swanne, notre puce pousse bien même si l'air sec de la région semble la gêner un peu. Elle a enchaîné ce mois ci deux rhino-pharyngites bien désagréables. Elle court maintenant à quatre pattes, se lève toute seule et se tient debout longtemps accoudée à un muret. Elle joue à la balle avec son papa, danse dès que l'on se met à chanter. Elle va maintenant à la garderie où elle a une nounou pour elle toute seule mais joue aussi beaucoup avec les autres enfants. Aucun problème pour la laisser, chaque matin elle se jette dans les bras de sa nounou !! Swanne commence à prendre l'habitude de la poussière. En effet, nous vivons dans la campagne donc la poussière est notre quotidien tant dans le 4x4 que dans la maison heureusement que Maman a insisté pour acheter une machine à laver !! Nous
attendons d'ici quelques jours Marc, un ami rencontré en Bolivie
en 2002 et qui parcourt, cette année, les Amériques à
moto. A bientôt Mercredi 1er août 2007 : De Samaïpata à Tarija
Avant
de quitter cette grande ville, nous faisons le plein en petits pots, lait
et eau minérale pour les repas de Swanne. En effet, nous ne trouverons
pas ailleurs de petits pots or notre fille mange encore tout mixé et sans
mixeur… l'affaire se complique ! Nous équipons la voiture d'une galerie,
de jerricans d'essence et d'eau, d'un GPS, d'une roue de secours d'un
siège auto et d'une bonne couverture chaude puis nous prenons la
route en direction de la cordillère. La route est asphaltée bien qu'en mauvais état mais rapidement les paysages des contreforts des Andes apparaissent c'est magnifique. Nous laissons avec bonheur l'effervescence cruzenos pour découvrir un petit village tranquille : enfin la Bolivie tant attendue se présente à nous.
Le
climat depuis notre arrivée en Bolivie s'est fortement dégradé et nous
essuyons de belles vagues de froid avec un vent venant de Patagonie qui
souffle cette année de manière exceptionnellement forte. La neige a recouvert
l'altiplano et dans les plaines les températures ont terriblement chutées.
Les Boliviens de l'Est ne sont pas habitués et sortent bonnets, ponchos
de laine, anoraks. Parallèlement à ce froid, le pays est agité socialement
et de nombreux " bloquéo " coupent la circulation aux abords des grandes
villes et sur les axes principaux. En quittant Santa Cruz, la route d'accès pour Tarija était fermée par des manifestations de paysans. Heureusement, en lisant la presse quotidienne nous apprenons que le blocus sera levé quelques jours… Nous décidons de quitter Samaïpata et de filler rapidement pour profiter de cette opportunité. En effet, l'alternative de passer par les Andes ne nous réjouissait pas car cela nous aurait contraint à passer des cols à plus de 4000 m d'alt et avec cette vague de froid, nous sentions l'épopée périlleuse. La
route pour Tarija nous fait traverser les grandes plaines du Chaco où
nous longeons de grandes estancias alternant élevage et cultures. Les
700 premiers km se A Tarija, les " bloquéos " des paysans sont très actifs et la ville est encerclée par des barrages. Nous contournons assez facilement les premiers en passant dans un fossé et arrivons dans la ville. A un carrefour, des barricades moins sympathiques avec des morceaux de verres sur les pavés sont installés… le temps de nous arrêter pour savoir comment passer et un manifestant nous crève un pneu avant… Bienvenu à Tarija ! Forts de cette première expérience, nous cherchons un bon hôtel pour nous reposer et aviser… Jérôme repart immédiatement changer le pneu et revient très content en ayant découvert des quartiers très agréables en dehors de la ville et surtout en ayant rencontré des gens très sympathiques. Le lendemain nous emménageons dans un hôtel plus abordable et nous mettons en quête d'une maison.
Au
quotidien, nous profitons de l'excellente viande, valant largement la
viande Le programme des prochains jours va être de visiter la Vallée Conception qui est le lieu de production des vins boliviens. Et oui, nous quittons la Savoie, pays vinicole, pour en retrouver un autre. La région de Tajija produit de bons petits vins et se targue d'avoir les vignes les plus hautes du monde. Nous sommes également dans une zone où se trouve de nombreux fossiles de grands mammifères… Il n'y a plus qu'à chercher ! Les mois d'Août et Septembre sont des mois de fêtes et de pèlerinages dans la région, nous vous raconterons donc les fêtes de San Lorenzo et de San Roque ainsi que le pèlerinage de Chaguaya. Mardi 3 juillet 2007 : Bolivie, Santa Cruz de la Sierra Nous
qui n'aimons pas les voyages rapides où l'on se sent transporté d'un
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